Bon Dieu ! Mais ou-suis-je ?!

Mon enfant/frère/soeur/chat/chien/voisin/père/fils/fille/cousin/ennemi/ami/aspirateur/lave-linge/livre/porte-monnaie/curseur/élève/padawan/amour/petit papillon/fan/assassin/copain/pote/enculé/banquier/p'tit gars (rayer LA mention inutile), te voici tombé, ou monté en fonction de ta porte d'entrée, dans un monde étrange et compliqué remplis de mots, eux mêmes remplis de lettres, et de phrases remplis de mots, (Vous voyez, ça se complique déjà !) où vous trouverez des espagnols psychopathes, des petits dragons violets, des grosses clés, des mangeuses de vélociraptors, des chasseuses de primes armées de baguettes de pain, et tout autant de trucs absurdes que mon cerveau pourra créer......

dimanche 14 février 2010

Un fougère m'a passé un petit coucou et....

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Bonjour !
Excusez-moi de ne pas avoir trés présent tel quel durant ces derniers temps, mais je n'ai pas vraiment pris le temps de m'occuper de ce joli blog qu'est le mien.
Alors, je viens ici pour vous annoncer deux choses :

- De une, je ne vais écrire un gros pavé ici...Si, si, je vous jure !...Bon, c'est déjà ça de fait !
- De deux, je voudrais vous annoncer que j'ai débuté mon roman (répondant au doux nom de "Je suis une fougère !") et que le prologue et le premier chapitre sont disponibles ici : http://jesuisunefougere.blogspot.com

Merci de bien vouloir vous y précipiter tout de suite afin d'y lire toute la magie de la littérature de bas-étage, merci^^

Bien littérairement votre, Siridius.
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Aude a la joie

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Subtile symphonie qu'est celle de ce contingent de violons cinglants, gracieusement jetés dans l'abyssale abîme qu'est l'anus de ce pauvre chien, alors qu'ils griffonaient tristement le mur du son en ton honneur, florisante feuille de lière.
Epique Aude Isée, aucune plume n'aura su faire éclater ta beauté, ni même Homère, autant que la mienne. Point d'orgueil ou de vanité dans mes propos, sombre chevelue. Simplement une joie incommensurable à la vue de mon reflet dans le miroir de l'âme qu'est ton cléopatresque nez.
Cinglant révolté, ton minois félin alarme sans cesse la passion canine de mon pelage enflammé. C'est comme si le Diable en moi voyait le Dieu en toi : une lutte intestine entre mon coeur et mon âme. Les griffes mortelles de tes catapultes emplies de vie (en français, ça donne "tes cordes vocales") ne cessent d'assiéger cette forteresse déjà prise, jonché de cadavres nécrophobes, aux fondations éffrités par le temps et l'huile de colza.
Malgré l'apparence que revêt ce mannequin préambule, et potentiellement somnambule, cette Ôde n'est certes pas écrite dans le but de faire l'éloge des violons nasaux qui actionnent des catapultes divines dans l'intention de mettre fin à la brulante dynastie des bergers allemends intemporels, mais ne constitue néanmoins pas le rouage principal d'un récit panégyrique en ton nom. Sincères excuses, ma trés chère Porsche !
Mais c'est alors que j'ajoute, tout en évitant un tes merveilleux coups de pied, que cette Aude ne t'es toutefois pas étrangère, familière Ôde. Je passe outre cette inversion passablement volontaire et t'honore en expliquant que cette bucolique lettre ouverte est dédiée à la Joie.
Oui, ma cordelette ! J'exprime ici l'admiration que j'éprouve pour cette cette joie ténébreuse qui habite chacune des balles de lumière que tes yeux m'envoient ! Je me meurs de bonheur, et je voudrais pouvoir mourir des centaines de fois pour goûter à cette moribonde joie, traversant ma chair, éclatant mes poumons.
Que je reverais d'être éternel, afin de pouvoir m'éteindre avec toi, tels deux cigarettes en chocolat dans une chambre froide.
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Sous la Protection des Guitares

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Tombante, décadente. Te voilà, ma guitare !
Regard symphonique, qui déchaine les tempêtes
Et broie les os, surpassant les trompettes.
Pète ! Détruit ! Qu’aucune lumière ne luit.

Messie de Métal, tes six clés sans portes
M’emportent et apportent du cyanure à la bouche
Du despote, grattant et raclant les fonds
D’une Humanité se tranchant elle-même l’aorte.

Porte cette rage et cette haine de la mort !
Tord mes genoux et sublime ses reins,
De manière à ce que nous partageons ce viol serein.
Divin, son ventre au contenu maudit dort encore.

D’or et de lumière est cette musique létale
Qui transperce ce monstre d’ordre fœtale.
Fatal, l’abominable chérubin se joue de nos sens.
Page de L’Apocalypse, il revêt quatre apparences :

Guerre. Insipide et délectable opium que l’Homme fume.
Légumes. De détruire la viande, ils ont jurés.
Téléréalité. Le fléau qui éradiquera l’Humanité.
Rap. Ultime ennemi du Métal salvateur, qu’il asservit de son enclume.

Guidés par de gutturales guitares, de battantes batteries,
Et par des chants viscéraux, contentons-nous d’aimer comme à Mytilène
Où notre anandryne favorite, de nous sûrement, se rit (ou se ressert en riz).Je t’aime, ma douce, froide comme l’automne ou chaude comme la laine.
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Méprise Végétale

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L’arbre de la vie qui luit,
Muse d’une douce poésie.
Tes branches tailladés et coupés
Ne cesseront jamais de ma faire t’aimer.

Flot continuel de chair putride,
Ta sève, jamais, ne se vide de ces rides.
Sapin de sang et de pus,
Mange-moi avant que tu ne sois repu.

Odeur fétide, ta fragrance sublime,
Doucement, plonge mon esprit dans l’abîme.
Oh ! Putain de bordel de zut !
Je t’ai trompé alors que tu me faisais turlute !

Tandis que, sensuellement, je caressais tes hanches,
A haute voix, j’insultais ses tranches.
Méprise délirante ! Je maudis, d’un côté, ce géranium,
Et de l’autre, je te bénis de mes baisers, Mon Anémone !

Ne t’enflamme pas, ma Katherine !
C’est à cette plante que je dédis ces conneries,
Et non à tes belles feuilles, délicieuse ballerine.
Maintenant, dans l’amour, plongeons dans ce lit.
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lundi 7 décembre 2009

Aude a la Toile

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Les images frappent. Les vierges se cassent. Les yeux se plissent. Et pourtant, aucune âme n'ose ni trahir, ni combattre, ni fuir.
Chère Aude, omnipotente et potable pétale de violette déshydratée, les sonorités de tes ongles (si majestueusement écarlates face à ce tableau si ridiculeusement noir) ne pourraient-ils pas assourdir ces tonitruantes absurdités qui nous rongent ?
Epris d'une toile virtuelle, nous ne voyons pas l'ombre prédatrice et menaçante du géranium furibond derrière le champ de carottes. Hep, ne t'enflamme pas, mon Audrey !
Ne te sens pas contrainte ou forcée (de toute manière, de par tes antécédents judiciaires, tu ne supportes pas les menottes) de bruler d'indifférence devant cette métaphore, bien trop rustique et pittoresque pour ton esprit trop peu déviant et vicieux, ou de m'envoyer chercher des ampoules chez Orion par l'intermédiaire d'une de tes somptueuses gifles astrales suite à cette malencontreuse étourderie nominative !
Hatôns-nous lentement, virus insipide : Prenant mon courage à deux mains et ton bras éxotique (avec le reste, bien sur) dans l'autre, j'irai, tel un publicitaire véreux dans une cohue de jeunes filles en fleur trés arachnéennes, délivrer cet amour et ce respect de la vie que ta gorge fertile et délicate m'a légué.
Et, armé de mon sens développé de la non-violence, nous vaincrons le poison morbide que diffuse l'habile araignée derrière la toile dans les veines craquelantes et sifflantes de notre Humanité.
Impétueuse Mytiléenné ! Tel une Vivien en plores, je t'impleure ma Kérimé. Ma tête a tant besoin de tes épaules, et ma main de tes doigts. Qu'attends-tu pour débrancher la prise ?!
Non !
Lache-donc ce verre de cidre et cette pizza à la bolognaise !! Sale informaticien !!!
Tes lumineuses mandibules n'iront pas corrompre cette délicieuse pizza une fois encore !!!!
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Aude à l'heure

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"Bling, bling", fit l'élégante petite montre en argent alors qu'elle chutait en parcourant cette inévitable course à la verticale que fait chaque objet sur lequel la gravité n'a pas d'emprises...le phallus humain excepté, bien évidemment.
Ah, clairvoyante Aude !
Pourquoi a-t'il fallu que cet ignoble spectacle à connotation quasi-temporelle n'ait point pris la fuite devant tes délicieux et vindicatifs globes...oculaires.
Ma Mésopotamienne, comment donc cet immonde objet/membre/jouet sexuel/inséminateur naturel/gaterie ambulente (rayer la mention inutile) en est-il arrivé à importuner de son gland incisif mon esprit fertil alors qu'il jouissait tant à l'idée de m'innoder de Bonheur à la vue de ton coeur (No vivisection inside !).
Ô Ma Déesse ! Délivre-moi de ce flot pornographique de métaphores érotiques ! Je me noie avec allégresse dans la perversité et la débauche qui m'envahit en ce moment tardif.
Quelle heure est-il, d'ailleurs ?
L'heure qu'il était hier à la même heure ? Hum....Peut-être devrais-je, à l'instar de ton divin poignet, porter une montre ?
Oui, cela est une bonne idée.
Ah, ma Muse ! Tu es l'encre virevoltante qui habite ce corps frêle et chétif qu'est le mien, tel une télévision millénaire donnant le sein à une télécommande bien trop éléctronique pour être considérée comme étant douée d'intellect.
Quel dommage !
Quel dommage d'oublier ces fières télécommandes !
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dimanche 29 novembre 2009

Les Pensées de Siridius (ou apologie de la littérature de bas-étage)

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- Smith (ce satané philosophe qui tentera, par la suite, de contrôler la Matrice) a dit, un jour :
"Les conneries culturels de ces saletés de crayons patisseurs nous plotent franchement les farines de beurre !"
Quel grand homme !

- Le pain, c'est la chaussure de l'homme ! (M. Despommes, boulanger philosophe Indien du XII° siècle)

- La Tour de Pise, quand elle rigole, elle envoie du bois ! (Senor DeVisito, guide italien porté sur les herbes provençales) PS : Spéciale dédicace à Aix-en-Provence, et à sa sublime vaticineuse.

- Galilée, il aurait dû manger plus de Galilettes. (Un publicitaire de l'agence de biscuits Dabone)

- Les chutes de reins pénétrées par des masses de frottements anorexiques, ça fait bille quand même ! (Déclaration du physicien Mackensiet à propos des risques cutanées liées aux rapports sexuels entre une femme et un meuble, cf. voir le livre A Rmoire ou A Dieu ?)

- Je n'ai jamais pu serrer un koala entre mes oreilles. (Dernière citation du célèbre braconier russe Yetof Kuilobretz, qui avait pour habitude de se confectionner des écouteurs à partir des ossements de ses proies, avant qu'il ne meurt d'un cancer des tympans.).
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