L’arbre de la vie qui luit,
Muse d’une douce poésie.
Tes branches tailladés et coupés
Ne cesseront jamais de ma faire t’aimer.
Flot continuel de chair putride,
Ta sève, jamais, ne se vide de ces rides.
Sapin de sang et de pus,
Mange-moi avant que tu ne sois repu.
Odeur fétide, ta fragrance sublime,
Doucement, plonge mon esprit dans l’abîme.
Oh ! Putain de bordel de zut !
Je t’ai trompé alors que tu me faisais turlute !
Tandis que, sensuellement, je caressais tes hanches,
A haute voix, j’insultais ses tranches.
Méprise délirante ! Je maudis, d’un côté, ce géranium,
Et de l’autre, je te bénis de mes baisers, Mon Anémone !
Ne t’enflamme pas, ma Katherine !
C’est à cette plante que je dédis ces conneries,
Et non à tes belles feuilles, délicieuse ballerine.
Maintenant, dans l’amour, plongeons dans ce lit.
dimanche 14 février 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire