Bon Dieu ! Mais ou-suis-je ?!

Mon enfant/frère/soeur/chat/chien/voisin/père/fils/fille/cousin/ennemi/ami/aspirateur/lave-linge/livre/porte-monnaie/curseur/élève/padawan/amour/petit papillon/fan/assassin/copain/pote/enculé/banquier/p'tit gars (rayer LA mention inutile), te voici tombé, ou monté en fonction de ta porte d'entrée, dans un monde étrange et compliqué remplis de mots, eux mêmes remplis de lettres, et de phrases remplis de mots, (Vous voyez, ça se complique déjà !) où vous trouverez des espagnols psychopathes, des petits dragons violets, des grosses clés, des mangeuses de vélociraptors, des chasseuses de primes armées de baguettes de pain, et tout autant de trucs absurdes que mon cerveau pourra créer......

lundi 7 décembre 2009

Aude a la Toile

Les images frappent. Les vierges se cassent. Les yeux se plissent. Et pourtant, aucune âme n'ose ni trahir, ni combattre, ni fuir.
Chère Aude, omnipotente et potable pétale de violette déshydratée, les sonorités de tes ongles (si majestueusement écarlates face à ce tableau si ridiculeusement noir) ne pourraient-ils pas assourdir ces tonitruantes absurdités qui nous rongent ?
Epris d'une toile virtuelle, nous ne voyons pas l'ombre prédatrice et menaçante du géranium furibond derrière le champ de carottes. Hep, ne t'enflamme pas, mon Audrey !
Ne te sens pas contrainte ou forcée (de toute manière, de par tes antécédents judiciaires, tu ne supportes pas les menottes) de bruler d'indifférence devant cette métaphore, bien trop rustique et pittoresque pour ton esprit trop peu déviant et vicieux, ou de m'envoyer chercher des ampoules chez Orion par l'intermédiaire d'une de tes somptueuses gifles astrales suite à cette malencontreuse étourderie nominative !
Hatôns-nous lentement, virus insipide : Prenant mon courage à deux mains et ton bras éxotique (avec le reste, bien sur) dans l'autre, j'irai, tel un publicitaire véreux dans une cohue de jeunes filles en fleur trés arachnéennes, délivrer cet amour et ce respect de la vie que ta gorge fertile et délicate m'a légué.
Et, armé de mon sens développé de la non-violence, nous vaincrons le poison morbide que diffuse l'habile araignée derrière la toile dans les veines craquelantes et sifflantes de notre Humanité.
Impétueuse Mytiléenné ! Tel une Vivien en plores, je t'impleure ma Kérimé. Ma tête a tant besoin de tes épaules, et ma main de tes doigts. Qu'attends-tu pour débrancher la prise ?!
Non !
Lache-donc ce verre de cidre et cette pizza à la bolognaise !! Sale informaticien !!!
Tes lumineuses mandibules n'iront pas corrompre cette délicieuse pizza une fois encore !!!!

3 commentaires:

Anonyme a dit…

ça se suit, chaque évènement entraine assez vaguement le suivant tout en ayant de nombreuses diversions rafraichissantes…
Ce genre de trucs il faut les pondre; je me suis déjà essayé à cet art complexe, mais celui-ci n'est pas mal du tout
et pis, j'aime la pizza :p

—– gadevoi

Siridius a dit…

Oh !! Un commentaire ?! Ici ?
Eh bien, mon cher gadevoi (sans majuscule, attention !), je te remercie d'avoir prété attention à ces sombres écrits et d'être également passé sur ce blog.
Enfin, tu dis t'être déjà essayé à cet art...
Ca m'intéresse de façon intéressante de tel sorte que cela reflete une forme d'intéret en moi^^

Allez, à plus.
Siridius

Anonyme a dit…

Siridius, en mode : "étonné de son premier commentaire sur son blog".

C'est de l'inédit !

Neckhaos.

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